Il y a deux types de gens à New York, les riches et les pauvres et ce qui vous disses qu’ils sont tout simplement dans la moyenne et bien c’est faux, c’est juste façon as eu de se donner un peu d’espoir, l’espoir qu’un jour ils pourront espérer avoir tout ce qu’il désire et arrêter d’envier leur voisin. Il n’y a qu’à prendre l’exemple des écoles privé il y a les gosses de riches dont papa maman finance l’école et ceux qui sont là, car les riches leurs ont accordé une bourse d’étude. Vous allez me demander, pourquoi vous expliquez tout cela ?! Eh bien, c’est simple, car moi, je fais partie des inclassable, des rares personnes qui ne se considérer pas comme un compte en banque et qui pense que l’argent n’est rien d’autre que l’instrument qui tue à petit feu notre société. Avant j’étais de ceux dont les parents financés l’école ce n’était limite même pas si il n’avait pas le nom de l’auditorium et j’ai fini par me rendre compte que mes amis n’étais rien d’autre que d’autre riches voulant encore plus d’argent où servant leurs propres intérêts. Alors, un beau jour, j’ai tout simplement décidé de faire croire que je n’étais en fait qu’une boursière et entre nous faire changer mon nom dans les registres scolaire ne m’as value que 20 dollars et les yeux doux. J’y suis gagné de vrais amis et alors que beaucoup me traiteraient de folle, moi, j’ai réalisé ce que c’était la vraie vie et surtout d’être traité normalement. Parce que si beaucoup de pauvres m’envient mon confort, mes vêtements, les galas de charité tout ceci n’est que superficialité artifice. Ils ne savent pas qu'eux, ils ont de la réalité, de l’amour et des valeurs. Mais bon, cela n’a duré qu’un temps, difficile de jouer les pauvres quand on est fille de député et que votre tête et placarder partout à côté de votre père figure politique emblématique de New-York, ah si le peuple savait que la seule chose qui l’importe, c’est la couleur de ces cravates et le caviar sur des toasts de pain français. Alors j’ai fini par trouver une solution, après tout l’avantage avec Internet, c’est qu’on peut-être qui on veut et surtout, c’était la seule chose de ma vie que mes parents ne contrôler pas et où je ne les entendais pas me répéter à longueur de temps à quel point mon frère est parfait ! Tout a commencé par Just_Mee une chaîne Youtube que je faisais plus pour moi que pour les autres et croyez moi j’ai vite étais surprise de l’engouement des gens pour des vidéos qui vaciller entre des tuto de maquillage tourner à l’autodérision de la haute bourgeoisie où encore des vidéos de danse tournée au quatre coin de New York par de sombre inconnue qui voulait bien me filmer où encore des conseils sarcastiques en tout genre sur comment ne pas se laisser piéger par Madame qui vous regarde de haut parce qu’elle as des Louboutin où monsieur qui vous dit de garder la monnaie pour qu’on le pense généreux. Et avant que j'ai le temps de me rendre compte de la fille banale, mais rigolote que je montrais dans mes vidéos avait du succès, un beau matin, je me réveillai avec une Fan Page Facebook avec plus de 16K d’abonnée qui en demander plus. Alors mon « journal intime » virtuel s'est vite vu transformer en une tribune contre les gens riches qui ne se préoccupent que de leurs propres intérêts. Ma page Instagram a vite suivie le mouvement de cette notoriété pas forcément attendue avec plus d’abonnés qu’il n’en faut, pour moi qui veux juste prôner la simplicité dans un monde de complexité, à croire que dans le fond c’est ce que les gens recherchent. Mais ma plus belle création et celle dont je suis la plus fière, c’est mon blog anonyme sur les bas-fonds de New-York en lien direct avec le New-York Times. Ne vous méprenez pas, je ne cherche là aucune notoriété, je suis bien assez surprise que les gens s’intéressent à moi et je ne cherche pas non plus à me faire plus d’argent que j’en ai déjà. Je veux juste montrer aux gens la réalité des choses, la vérité qu’ils refusent tous de voir alors qu’elle est bien encrer devant eux. Je ne me prétends pas non plus justicière des temps modernes chassant les riches pour donner au pauvre, non ! Je vois juste là un moyen pour moi de me sentir un temps sois peu normal, de me détacher de mon mode de vie strict que je n’ai pas choisie, car oui, on ne choisit pas sa famille. La seule que l’on choisisse réellement s’est nos amis et encore là, on n’est jamais sûr de pleinement choisir. Pourtant, il y a de ces jours qui changent votre vision des choses, de ces jours qui vous donne un nouveau regard sur les petites choses de la vie, et de ces jours qui vous redonne espoir sur quoi demain sera fait. Ce clic sur la page de ce mec au regard qui nous invite à nous poser des questions. Ce simple clic suivi d’un, j’aime et d’un partage et qui après quelques échanges se transformeras en quelque chose de nouveau d’unique et de fort. Ce clic qui change à la fois tout, mais les compliques aussi, car après ces jours et ces mois d’échange cela se transforme en des mots que l’on ne peut pas oublier, qui vous touche droit au cœur et pourtant, on en est toujours à se demander si tous cela est vrai. Car finalement, comment faire le choix entre réalité et virtualité ?! N’est-il pas plus vrai que les sentiments que l’on ressent pour un être fait de chair et de sang, mais de l’autre côté de cet écran, n’y a-t-il pas ce petit quelque chose que des gens passeront une vie entière à chercher sans jamais la trouver… Alors, finalement, on peut se dire qu’il y a de la complexité dans la facilité et que nous en sommes tout réduits au même stade, aussi bien riche que pauvre, on en viendra toujours à se poser des questions sur le bon chemin à prendre. J’aimerais tellement parfois que cette boule magique du temps où j’étais encore gamine, cette boule qui me confortais dans mes décisions, qu’elle ne soit pas qu’un simple jeu, mais m’aide à me guider et surtout est-ce que je ferais le bon choix entre celui que je voie tous les jours et pourtant, je connais à peine et cet inconnue de l’autre côté de mon écran d’ordinateur que j’ai l’impression de connaitre depuis toujours sans pourtant l’avoir jamais vue !