Contrôle de routine me direz vous, il faut que je m'y habitue. Les médecins ont fait un très beau boulot avec moi, ils ont su me sauver là où beaucoup m'aurait surement vu morte comme mon meilleur ami dans cet accident en janvier dernier. Il en a fallu du temps pour que je revois la lumière du jour et que je sente l'air venir chatouiller mon visage, presque quatre mois de coma et autant en rééducation pour pouvoir remarcher et sortir de ces quatre murs blancs trop étroits pour moi. Même si cette épreuve m'a permis de retrouver mon frère, je ne souhaiterai aucunement repasser par là. Qui aimerait avoir un accident et flirter avec la mort ? Bref, je me rends à l'hôpital où on m'a donné rendez vous pour ma visite de contrôle la dernière fois que je suis venue, le médecin que j'ai d'ordinaire n'est pas là alors on m'a collé sur le planning de quelqu'un d'autre. Est ce que je dois lui parler des douleurs que je ressens parfois dans les jambes, notamment lorsque je reste inactive ? Est ce que je dois lui dire que je pense que ça vient de ma tête et de ma peur de rester paralysée ? Je ne sais pas. Il ne connait pas trop mon cas, j'ai peur qu'il me refasse faire toute une batterie d'examen qui empiète sur mon temps de travail si je lui dis. Au pire on verra. Je me présente à l'entrée de l'hôpital on m'indique où je dois me rendre puis je patiente dans le couloir qui sert de salle d'attente au docteur Smith. Nom courant, je l'ai déjà entendu plusieurs fois. J'attends dix bonnes minutes avant que la porte s'ouvre, que la patiente quitte le bureau et que le fameux médecin se tourne vers moi. Ok. Maxwell. Maxwell Smith. Evidemment. Je me lève et me dirige dans le bureau tout en souriant. Pourquoi n'a t on jamais parlé de nos métiers respectifs ? Parce qu'on était surement trop occupés à autre chose. Je le laisse fermer la porte derrière moi puis je me retourne vers lui : « Situation bizarre ok, tu vas réussir à faire mon bilan sans être déconcentré ? » Je le regarde avec un petit air enfantin, joueur en attendant sa réponse.

Encore une journée chargée de travail. Franchement je n'en peux plus. J'enchaine les longues journées, à croire que tout le monde est décidé à tomber malade en cette période d'hiver. Mais bon c'est le métier que j'ai choisis, alors faut bien que j'assume en quelque sorte, et j'apprécie ce que je fais malgré tout. Donc nouvelle journée, dit forcément nouveaux patients, ou même ancien patient. Des patients que j'ai déjà eu, et qui sont de nouveaux malade. Donc j'enchaine les rendez vous, la plupart un peu de rhume, de grippe, d'autres qui viennent pour un bilan, d'autres qui s'inventent des maladies. Je laisse sortir ma patiente, pour ensuite appeler ma nouvelle patiente. " Mademoiselle Carlton ? " Appelais-je en regardant autour de moi, jusqu'à voir une belle blonde se lever. Je souris directement en la reconnaissant. Je lui serre la main, pour ensuite l'entrainer jusque dans mon bureau. Je referme la porte derrière nous, pour pouvoir me tourner vers elle. " Je sais être professionnel, quand il le faut tu sais. " Ca va être compliqué, mais possible. Après tout c'est une très belle femme, et j'ai déjà craqué à de nombreuses reprises avec la jeune femme. " Tu te sens comment ? "

« Je n'en doute pas ... » Lui dis je avec le sourire en prenant entre mes dents ma lèvre du bas tout en le regardant. Très bien voyons cela, voyons sa capacité à rester sérieux. J'en doute pas un peu puisque c'est un homme et qu'il est rare qu'ils sachent résister à la tentation mais après tout rien n'est plus amusant et excitant que de jouer non ? « Je vais bien, je suis là pour mon bilan obligatoire à la suite d'un accident que j'ai eu en janvier je pense que tu peux signer le papier et je peux repartir. » Ca lui évitera de faire une faute dans l'exercice de son métier et moi ça m'évitera de perdre du temps. Ca m'évitera aussi de finir par lui avouer que j'ai des douleurs dans certains muscles ou dans les articulations quand je reste trop longtemps inactive, qu'il me fasse faire tout un tas d'examen, que je revienne le voir, et que je prenne un nouveau traitement, les cachets, j'en ai assez. « Comme ça, ça m'évitera de tester ta résistance, parce que clairement, maintenant j'ai envie de jouer. » Je lui adresse un sourire franc et sincère au moins il sait à quoi s'attendre. Il ne fallait pas me mettre au défi en quelque sorte parce que oui me dire qu'il sait être sérieux quand il le faut, c'est pour moi lancer un défi. Je suis une femme, les femmes sont tordues, alors je suis tordue.

Oui quand il le faut je sais être professionnel, surtout quand il s'agit de mon métier. Bon je sais être professionnel, mais ça m'arrive de coucher avec des patientes. Là c'est différent. Certaines femmes me donnent envie, et elles ne sont pas contre non plus. Mais disons qu'avec Jilly, on s'est déjà envoyé en l'air, donc je peux très bien m'occuper d'elle aujourd'hui. Je la vois mordre sa lèvre inférieure. A croire qu'elle veut me faire craquer, non ? On pourrait lagrment croire cela, mais je saurais me tenir, du moins j'espère. " Si t'es là pour un bilan obligatoire, faut le faire dans ce cas.. " Je n'ai pas étudié son dossier, donc je ne sais même pas ce que je dois faire. Je n'ai pas vraiment eu le temps de me pencher sur son dossier à vrai dire. Je regarde la jeune femme, et franchement je me demande bien comment je vais faire pour lui résister. C'est une très belle femme, donc ça risque d'être compliqué, surtout si elle a décidé de jouer avec moi. " T'as envie de me faire craquer ? Dans mon bureau ? " Je souris amusé, alors que clairement j'aime me taper mes patiente dans mon bureau. C'est tellement excitant, le fait de pouvoir se faire entendre, de se faire prendre. " Parle moi de ton état de santé... "

« Ok faisons le alors ! » Je commence à retirer mes chaussures, puis mon haut et mon pantalon, me retrouvant en sous vêtement devant lui, le sourire aux lèvres même si certaines cicatrices de l'accident qui marquent mon corps sont visibles et que ça me gêne légèrement. « Je vais m'allonger c'est ça ? » J'ai l'habitude, je sais comment ça marche alors je prends les devants, surtout qu'après mon déshabillage en moins de deux, peut être qu'il lui faut un petit peu de temps pour se remettre de ses émotions. Je file vers la table d'osculation et m'allonge tranquillement en attendant qu'il arrive, l'écoutant aussi me répondre. Quand il s'approche et commence, posant l'extrémité de son stéthoscope sur le haut de ma poitrine, je plante mon regard dans le sien pour lui dire : « Tu ne me feras pas croire que tu n'as jamais rien fait ici... » Dans son bureau, sur son bureau... Enfin j'en sais rien mais il ne s'est jamais retrouvé avec une collègue à faire ce genre de chose ? J'ai bien du mal à croire qu'il ne ment pas s'il me dit ça. « Je vais bien je vous ai dit docteur Smith... Si on oublie les douleurs que je ressens dans les jambes quand je ne bouge pas pendant un trop long moment. D'ailleurs je vais surement faire ma dose d'exercice bientôt si je reste allongée là trop longtemps. » Mon sourire monte jusqu'aux oreilles avant que je ne me reprenne. « C'est bon je rigole, je cesse de te déconcentrer. »

Faut vraiment que je fasse son bilan. Si elle est là pour ça, faut le faire, alors elle vient à se déshabiller, ne laissant que ses sous vêtement. Je la regarde de haut en bas. Oui toujours aussi sexy pour le coup. " C'est ça. " Je la regarder aller s'allonger sur la table d’auscultation. Oui ça va vraiment être compliqué de lui résister, mais je vais y arriver. J'y arrive de temps en temps lorsque de belles patientes viennent me voir. Je vais la rejoindre près de la table, et je prends mon stéthoscope, pour pouvoir poser le bout sur sa poitrine, histoire d'écouter les battement de son coeur. " Je n'ai jamais dis que je n'avais rien fais ici. " Je l'ai déjà fais plusieurs fois, sur mon bureau, contre un mur, contre la porte, sur cette table. Enfin partout, même dans d'autres endroits de l'hôpital. Elle m'explique alors son état, par rapport à ses jambes, et je fronce les sourcils. Bon ok, je vais vérifier ses jambes alors. Et puis j'établierais un rapport pour le médecin qui la suit. " On va examiner un peu tes jambes alors... Tu me dis si je fais mal... " Je la regarde, alors que je commence à lui faire faire quelques exercices avec ses jambes. Elle a mal quand elle reste trop longtemps sans bouger, c'est bizarre tout de même. Je fais alors les quelques exercices, regardant son visage pour voir si ça lui faisait mal ou pas. " Je vais notifier tout cela à ton médecin, pour qu'il sache... Tu me te relever. " Je regarde sur le côté de la table, pour qu'on puisse se retrouver face à face une fois relevée.

Ok alors il l'a déjà fait, c'est un petit coquin un petit malin, ça ne m'étonne pas de lui, ce mec est un coureur. Il aime chasser, ça se voit à son attitude. Je m'allonge et je lui indique le problème que je rencontre parfois avec mes jambes mais je sais d'avance que je ne vais pas lui dire que j'ai mal car ce n'est pas en appuyant que la douleur vient. « J'ai pas mal. C'est comme des crampes ou des courbatures que je prends... Je pense que c'est des douleurs un peu fantôme à cause de la peur que j'ai eu d'être paralysée et de ne jamais pouvoir remarcher après l'accident. »Je ne lui ai jamais parlé de cela, une coucherie n'a pas à le savoir mais un médecin si et pour le coup, il cumule les deux titres. Je me relève quand il le dit et je me retrouve face à lui alors que ses yeux parcourent mon corps. Pour le coup, je déteste ça, est ce qu'il le regarde comme il a l'habitude de le faire ou alors est ce qu'il scrute les cicatrices que j'ai en reste de l'accident je n'en sais rien mais je sais que ça me gêne, alors je me rapproche de lui, au moins, d'aussi près à part mes yeux et mes lèvres, il ne peut rien voir. « Les cicatrices ce n'est pas mon meilleur atout, alors même en tant que médecin évite de regarder ça. »

Je suis un coureur, c'est bien connu, donc oui je m'envois en l'air dans mon bureau. Et quand ce n'est pas avec des patientes, c'est avec des collègues. On a des apprenties, donc forcément j'en profite, et puis c'est bien le fantasme de quelques femmes de coucher avec un médecin, non ? Et puis pour les hommes, notre fantasme c'est de coucher avec une infirmière, donc ça je l'ai déjà fais. Ca rend carrément sexy uen blouse blanche. Je lui fais faire quelques exercices avec ses jambes. " Mais t'es pas paralysé Jilly... Faut te mettre ça dans la tête. Vite ta vie, tes jambes te lâcheront pas comme ça. " Lui répondis-je en souriant. J'essayais juste de la rassurer. Elle a échappé à la paralysie, donc ça ne va pas venir comme ça du jour au lendemain. Donc oui si c'esst dans sa tête, faut qu'elle bosse sur ça pour le coup. " Je regarde juste ton magnifique corps. " Je m'en fiche bien de ses cicatrices. Elle a un corps de rêve malgré tout. Elle s'est rapproché de moi, de sorte à ce que je ne vois plus que ses yeux et sa bouche. Invitation à l'embrasser ou pas ? Je souris amusé, alors que je ne craquerais pas le premier. Je passe mes mains sur ses jambes délicatement. Je caresses ses dernières du bout des doigts.

Plus facile à dire qu'à faire. Je crois que c'est mon subconscient qui ne veut pas se mettre dans le crâne que j'ai retrouvé mes jambes, que je remarche de nouveau toute seule, comme une grande, que je ne suis pas paralysée et que ce n'est pas demain que je le serais. Je crois que j'ai juste peur de me réveiller dans le même état qu'après mon coma. C'est donc la tête qu'il faut soigner, mais pour ça il faudrait que j'en parle et Maxwell est le premier à qui je le fais. « Tu vas le marquer sur le bilan ? » Je vois de là la consultation psychiatrique arriver et tout ce qui va avec et je n'en ai pas envie, je sais bien qu'on ne peut pas me forcer mais quand même, je vais culpabiliser de ne pas le faire après, je devrais en parler à Nate, Nate me comprendrait, Nate comprend tout ou du moins il fait semblant. « Si tu continues de jouer comme ça, je porte plainte en sortant d'ici pour torture, abus dans le cadre de ton métier alors que je suis dévêtue et complètement à ta merci et que tu es beaucoup trop habillé. » Mes mains glissent sous sa blouse pour la lui retirer et la laisser tomber par terre, il est toujours autant habillé puisqu'il a ses habits dessous, mais ça en fait toujours plus que moi.

Elle arrive à marcher malgré son accident, donc non elle ne va pas se réveiller du jour au lendemain paralysé. C'est juste impossible pour le coup. C'est dans sa tête que ça se passe. J'ai testé ses jambes, et elle ne ressent aucune douleur, donc ça montre bien que ses jambes vont parfaitement bien. " Je suis obligé Jilly... Faut que tu te mettes en tête que tu ne te réveilleras pas paralysé. " Non c'est médicalement impossible pour le coup. On devient paralysé, en cas d'accident, mais pour le coup, ce n'est pas le cas. Alors il faut qu'elle se soigne, faut qu'elle se mette en tête qu'elle va mieux, qu'elle va bien, et que surtout ses jambes s'en sortent merveilleusement bien. Je passais mes mains sur ses jambes délicatement, et je souris amusé à ses paroles. " Si je suis trop habillé... Qu'est ce que t'attends ? " Lui demandais-je alors qu'elle passait ses mains sur ses épaules pour me retirer ma blouse. Ca n'empêche que j'ai toujours ma chemise et mon pantalon. " Je suis toujours autant habillé là... " Constatais-je en la regardant, alors que j'approchais mon visage du sien. C'est elle qui a commencé, non ?

Mes jambes vont bien, et elle réagissent bien. Je sens déjà ses mains remontées le long et provoquer quelques frissons chez moi. Cet homme m'a aidé à retrouver confiance en moi après mon accident, il a été le premier avec qui je me suis laissée aller, et il est surement le premier avec qui je couche aussi souvent sans avoir de relation, sans qu'il n'y ait rien entre nous à part peut être un fond d'amitié en plus d'une forte attirance. Attirance qui me pousse à faire tomber cette blouse sur le sol, qui le pousse à s'avancer vers moi et qui me fait souffler contre ses lèvres : « Ton rendez vous d'après est à quelle heure ? » On s'en fiche non ? Mais c'est important pour moi de savoir quand même qu'on peut prendre le temps de faire ce qu'on a envie de faire. Tout en disant cela mes mains s'affèrent à défaire les boutons de sa chemise un par un avant qu'elle aussi ne rejoigne le sol. Là déjà c'est mieux surtout quand il se rapproche encore un peu plus et que je sens la chaleur de son corps contre le mien. Il est si sûr de lui, je décerne une palme à celle qui osera partir à ce moment précis, celle qui osera lui faire le coup. Et si c'était moi ? Non j'ai bien trop envie de lui faire oublier ce qu'il y a noter sur mon bilan.

je compte bien noter tout cela dans le rapport, et surtout prévenir le médecin qui la suit habituellement. Parce que c'est exceptionnel pour moi. Son médecin n'est pas là, alors elle est venue chez moi. Ca ne me dérange aucunement. Je balade mes mains sur ses jambes, pour tenter de la faire craquer, parce que c'est bien le but pour le coup. Elle a voulu jouer, non ? Alors je vais le faire. Je veux jouer. Ma blouse tombe au sol, et je souris amusé. " Aucune idée... Elle attendra au pire, qui n'a jamais attendu chez le médecin ? " Personne, donc si j'ai une cliente bientôt, et bien elle a attendra le temps qu'il faut. Jilly vient à déboutonner les boutons de ma chemise petit à petit, et je souris, me rapprochant d'elle. Mon visage s'approche du sien, alors que je jette un coup d'oeil à ma porte. Faudrait que je la ferme, ainsi que les petits volets, pour éviter qu'on puisse nous voir. " Deux secondes... " Je souris, pour ensuite m'éloigner rapidement de la jeune femme, et fermer à clef ma porte et descendre le petit rideau. Voilà maintenant, ça sera mieux. Je retourne vers la blonde, me faufillant entre ses jambes. " On en était où ? " Je me mords la lèvre inférieure, alors que je repose mes mains sur ses jambes, m'approchant de ses lèvres doucement.

Stores fermés, verrou tourné, le jeune médecin revient vers moi et se place entre mes jambes me demandant où on en était alors qu'il a précisé avant de se faufiler pour tout fermer que s'il a une autre patiente, elle attendra. Chacun son tour, j'espère qu'il ne joue pas à ça avec tout le monde parce que je crois que ça me répugnerai directement. Je glisse mes mains autour de sa taille pour revenir vers la boucle de sa ceinture et la braguette de son pantalon, une fois tout cela enlevés, il tombe à ses chevilles comme le reste de ses vêtements. « Je crois qu'on en était au fait que tu disais que t'étais encore bien trop habillé, alors j'ai remédié à cela. » Mes lèvres frôlent les siennes quand je lui réponds alors que mes mains parcourent son torse musclé. Nous sommes beaucoup trop têtus tous les deux pour céder, enfin surtout lui, parce que c'est chez lui que l'envie est la plus visible maintenant que son pantalon est sur le sol et pourtant il fait la tête de mule à ne pas craquer. Je recule sur la table d'auscultation tout en l'attirant vers moi sans l'embrasser, toujours pas. Ce n'est pas large et en se penchant il est toujours à ma hauteur. Aller, il faut céder très cher docteur Smith sinon votre autre patiente va être vraiment en colère du retard prit puisque je ne partirai pas.

Je m'absentais deux secondes, le temps de fermer la porte à clef et de descendre les stores. On sera plus tranquille comme ça. Au pire si on se fait interrompre, ça sera par quelques coups à la porte. Je retourne vers la blonde, me plaçant délicatement entre ses jambes. Mes mains se posent sur celle ci. Ma chemise est déboutonné, alors qu'elle s'attaque à ma ceinture et à mon pantalon. Bon ok, là devient vraiment sérieux pour le coup. Mon pantalon tombe à mes pieds, et je m'en débarasse parce que ça risque de me gêner. " C'est bien... " Je souris amusé en la regardant. Je me mords la lèvre inférieure, alors que j'approchais mon visage du sien, sans pour autant l'embrasser pour le moment. Elle recule sur la table, m'entrainant avec elle. Je souris, alors me débarassant des chaussures. Je l'allonge sur la table, me plaçant au dessus d'elle. C'est vrai que c'est assez étroit, mais ça devrait le faire. Mon visage se niche dans son cou que j'embrasse, alors que ma main parcourt son corps, descendant jusque dans son sous vêtement pour pouvoir faire monter le désir en elle.

Même si ça mériterait d'être moins vite fait, je prends du plaisir avec Maxwell en suivant son rythme alors qu'il alterne entre l'intensité et la douceur. C'est vraiment déroutant de faire ça ici, déjà que je ne savais pas que ce serait lui qui devrait faire mon bilan et donc en apprendre plus sur moi... je déteste savoir qu'il en sait un peu plus sur moi qu'une simple coucherie de temps en temps car c'est ce qu'il ait. Je l'apprécie, il me redonne confiance en moi dans un certain sens mais j'aime tout autant le taquiner et l'envoyer sur les roses tout en soulignant ses défauts. il ne faut pas m'en vouloir je suis comme ça. Alors quand il termine rapidement l'acte et se dirige directement vers la poubelle pour retirer le préservatif, je ne peux m'empêcher de lui dire : « Le docteur Smith a tiré son coup de la journée, il va pouvoir continuer tranquillement et sagement ses consultations maintenant dont la mienne ? » Même si je joue avec les hommes et que je me joue d'eux, je déteste avoir l'impression d'être de la viande fraiche pour un lion.

Nous venions tous les deux d'atteindre notre orgasme, et je me retire pour aller jeter le préservatif à la poubelle. Et voilà, une nouvelle fois où j'ai couché avec une patiente dans mon bureau. Je ne compte même plus le nombre de fois où c'est arrivé. Je retourne vers Jilly, pour pouvoir me rhabiller. Oui je ne vais tout de même pas rester tout nu. Bon ça ne me dérange pas, mais quand même, je préfère éviter de la tenter pour un second round. " Bien sûr... Et cette partie de jambes en l'air ne m'empêchera pas de tout noter dans mon rapport. " Y compris sa peur d'être paralysé des jambes. Je reste tout de même sérieux quand il s'agit des consultations et des rapports à effectuer. " Mais bon au final, ça vient surtout de toi... Faut vraiment que tu te mettes en tête que tu deviendras pas paralysé des jambes Jilly, pas comme ça. " J'essaye de la rassurer, c'est mon devoir aussi.