Riverra ♦ J'ai envie de toi, j'ai besoin de toi et pourtant....

Je suis arrivé(e) dans la grosse pomme le : 25/12/2015

J'étais sur Internet, sur mon Facebook personnel. J'écrivais un énième message à Terra mais cela faisait des semaines qu'elle ne me répondait plus, alors qu'elle lisait mes messages. Je voyais le petit "v" pour vérifier, et donc lu...

-Message Facebook-

Terre, je suis désolé si je t'ennuie mais... je m'inquiète.
Je sais que... nos vies réelles sont trop différentes et que tu es... en couple. Je ne veux nullement briser quoique ce soit, je veux ton bien et je veux que tu sois heureuse, mais pourrais-tu me le certifier? Même un mot "froid" serait mieux que rien du tout.
Tu me manques. J'ai besoin de te parler.
Je sais qu'on est que... virtuels. Qu'on ne se verra désormais... jamais dû à ta vie IRL occupée.
Je... je sais que je ne suis pas l'homme le plus drôle et virile de l'univers ou encore un homme qui vend du rêve. Certes, sur les réseaux sociaux, pleins de filles disent le contraire mais elles ne me connaissent pas comme toi tu me connais.
Tu es la seule à qui je me suis autant confié, qui me connait par coeur et non qu'à moitié.
Tu connais le mauvais River comme le bon.
Tu m'as vu très mal comme très heureux.
Si ton... petit ami t'ordonne de ne plus me parler, je le comprendrais... mais peux-tu au moins me certifier cela en me disant noir sur blanc que tu ne veux plus me voir?
Je te mentirais si je te dirais que je comprendrais... Certes je comprendrais mais j'aurais le coeur brisé.
On se connait depuis des années et là j'ai l'impression d'avoir à faire à une inconnue tant ce n'est pas dans tes habitudes de m'ignorer, comme cela, sans raisons apparentes et aussi soudainement.
Si ce n'est pas ton petit ami qui t'empêche de me parler, pourrais tu me dire ce que tu me reproches et qu'on puisse en parler et je pourrais essayer de m'expliquer et/ou excuser....
Tu dois me trouver pathétique à écrire un tel roman...
Je suis peut être pathétique au fond.
Tu me manques Terra...
River

J'envoyais ce énième message Facebook à Terra. J'étais seul, dans ma chambre, les larmes aux yeux. Je m'en voulais et je ne savais pas pourquoi. Elle avait enfin refait sa vie, je ne savais rien de... son copain à vrai dire. Enfin si... mais je veux dire, je ne le connaissais pas personnellement. Je savais juste qu'il était important... Dans quel sens, je ne savais pas trop tant c'était compliqué.

Je séchais automatiquement mes larmes, en préférant prendre un énième selfie pour le poster sur ma page Instagram à plus de un million de followers. Les "likes" des gens et leurs compliments m'aidaient à faire face et à rester fort, mais ça m'aidait et me comblait que l'espace de quelques minutes, la douleur revenait vite me hanter dû à l'absence de Terra dans ma vie, après tant d'années... de fortes connexions.

Je suis arrivé(e) dans la grosse pomme le : 25/12/2015

J'ai envie de toi, j'ai besoin de toi et pourtant....

Riverra

Ta vie se résumé-t-elle vraiment à ça, être à la merci de parents qui ne se soucier guerre de toi. Evoluer et te construire dans l’ombre d’un frère qui n’en valait qu’à moitié la peine. Répondre au désir de ta famille pour espérer avoir quelques minutes de répit en retour. Si c’est de ce dont rêver les pauvres gens qui se plaigne de leur misère, tu leur donnerais sans hésiter contre un peu d’humanité et de chaleur humaine. Tu avais l’impression d’évoluer dans un monde de robot, un monde où tu devais contrôler le moindre de tes gestes, de tes paroles ou encore de tes actes pour ne pas entaché la réputation de ton politique de père. Un robot, voilà ce que tu étais c’est derniers temps quand tu ne te laisser pas morfondre en broyant du noir sur ta propre existence. Tu ne pouvais pas te plaindre sans risquer d’être traité d’enfant gâté, mais ce qu’il ne comprenait pas c’est que de cette argent tu n’en voulais pas, comme tu ne voulais pas de ce petit ami choisie par ta famille pour faire bonne figure. Tu avais comme l’impression de mourir à petit feu ces derniers temps, c’était comme regarder ta propre vie se dérouler et aller vers une fin tragique sans pouvoir rien y faire. Tu étais brisé, ils t’avaient brisé, eux tous autant qu’ils étaient avec leur faux semblant et leurs courbette à deux sous. Ces gens qui à la première occasion vous tourne le dos. Tu avais beau tentais de te battre, on te faisait bien vite taire, te disant qu’en amour il faut faire des efforts. Mais, des efforts de quoi, tu ne l’aimais pas toi. Tu avais l’impression d’être en prison, cet homme à qui tu devais prétendument donner ton cœur ne te donner rien en retour si ce n’est des crises de jalousie monumentale pour quelques texto échanger alors que lui, il ne se gêné pas de draguer tes prétendues amies devant tes yeux. Tu les détesté et encore, même la haine était un faible mot. Tu rêvé d’un lendemain meilleure et tu demander comment tu arriver encore à chérir ‘espoir qu’un jour tout irais mieux. Tu aurais donné cher pour que la vie que tu te construisais virtuellement puisse être la réalité, ta réalité. Mais, la seule chose qui pouvait te faire sentir mieux tu étais contrainte de la fuir, de l’ignorer. Car tu avais peur, peur de je ne sais quoi, surement de cette violence qui sommeiller dans le regard de celui que tu appeler « mon cœur » sans pour autant en penser le moindre mot. Sous ta couette, tu pleurer, blottie contre ta peluche de Winnie l’Ourson, tu profiter d’un moment de répit seul quand ton téléphone sonna pour signaler l’arrivée d’un nouveau message. Tu savais de qui il était, c’était lui, ton rayon de soleil, celui pour qui tu étais prête à tout et pourtant rien de tout tes rêves avec lui ne se réaliserais. Tu te déchiré le cœur, te faisait violence pour ne pas lui répondre, ne pas l’appeler. Tu te disais qu’il finirait par comprendre que tu n’en valais pas la peine, qu’il mérité et mieux et pourtant tu savais à quel point tout cela sonner faux. Alors, tu pries ton téléphone et parcourras ces mots, encore une fois il s’inquiété de ne pas avoir de nouvelle, encore une fois tu te sentais coupable de le faire se sentir mal tout cela était de ta faute. Il te manquait, vos conversations te manquaient. Tu n’avais jamais cherché à courir après l’homme sur les photos, non, tu aimais ces mots si réconfortant et sa gentillesse et tout. Tu séchas une larme qui perla le long te ta joue et comme dans un élan de bon sens et de colère tu te sortis du lit pour attraper ton ordinateur. Pour l’heure, tu te moquais éperdument de la colère qui se déchainerait sur toi si ce mec que tes parents t’avais forcé à côtoyé apprenait que tu avais repris contact, car pour le moment tu n’avais besoin que d’une seule chose lui. Tu te mis alors sur Facebook et commença à taper.

*****

« River, mon chevelue à moi…

JE T’INTERDIS DE DOUTER DE TOI, ET PAR L’AMOUR DU CIEL TU N’ES PAS PATHETIQUE !! ARRETES ! Tout est de ma faute, comme toujours, ça doit être une habitude chez moi, je ne veux pas que tu te sentes mal pour moi… Je vais bien, à ma façon ! La vie est un tourbillon tellement compliqué, j’avais eu le triste espoir de me dire que si je ne te parlais plus peut-être que tu me remplacerais, peut-être que tu trouverais le bonheur que je n’ai plus espoir de rencontrer ! J’ai était égoïste, et je le suis encore plus en te parlant aujourd’hui ! Je ne devrais pas, tout es tellement compliqué. Je ne comprends pas comment peu ton aimer et faire souffrir en même temps, c’est tellement barbare. Tu sais que ton bonheur c’est le miens aussi, alors que peut-être si je te voie être heureux je le serais aussi. Je veux dire un vrai bonheur, pas celui que l’on monte de toute pièce pour faire plaisir au plus grand nombre ! Alors, faisons cinq minutes comme si je ne t’avais pas écrit ces mots précédent et que je te disse que tout vas bien, que ça ne pourrais aller mieux, tu me croirais tu ?! S’il te plait fait le, crois-moi et PITIER ARRÊTE DE TE DIRE PATHÉTIQUE, Tu es sans doute la meilleure des personnes que j’ai eu l’occasion de rencontrer et j’en ai rencontré pas mal…. =))

Je t’embrasse, tu me manques aussi,
Terra…. <3 »

*****

Sur ces derniers mots tu poussa l’ordinateur un peu plus loin sur ton bureau, fixant éperdument l’écran tentant de te convaincre que si il ne te répondait pas c’était surement mieux ainsi, mais mourant d’envie au fond de toi de te perdre de nouveau dans ces mots, comme quand vous le faisiez avant que tu sois contrainte de te mettre en couple avec monsieur parfait.

acidbrain

Je suis arrivé(e) dans la grosse pomme le : 25/12/2015

Depuis que j'avais envoyé le message fatidique à Terra, j'avais l'impression que les minutes étaient des heures. Je regardais toutes les 2 secondes mon portable en oubliant le monde autour de moi.

J'étais malheureux car je ne comprenais pas pourquoi cette ignorance. Malheureux car au fond je l'aimais, je le savais, malheureux car j'étais inquiet pour elle, malheureux car j'avais peur, peur de la perdre, malheureux car au fond je ne savais pas exactement ce qu'elle, elle avait dans son coeur. Ca faisait des années qu'on se parlait virtuellement, des années et peut être qu'elle en avait marre car je n'avais pas la force de la rencontrer réellement.

Combien de fois elle m'avait rassuré, complimenté, aidé et combien de fois je l'avais rendu si triste en jouant au chat et à la souris, en ne pouvant lui donner ce que peut être elle cherchait et ce que maintenant elle avait avec un autre.

De peur de sombrer, j'allais rendre visite à ma mère au lieu de rester seul, à me morfondre. Ma mère me comprenait avec un regard et elle savait quand il fallait qu'elle me pose des questions ou non.

J'étais chez elle, sur son canapé, avec entre mes mains un bon chocolat chaud, elle me racontait sa journée, elle souriait et riait aux éclats. Etait-ce un joli mensonge ça aussi? Puis je sentis mon portable vibrer dans ma poche. Je le pris et je vis que j'avais un message sur Messenger. Je l'ouvris en moins de 2 secondes et je le lus plus qu'attentivement, en oubliant la voix de ma mère.

- Chéri? Ca va?

J'entendais sans entendre. Je lisais le message de Terra et j'avais mal. Etait-ce un message d'adieu? Enfin elle me répondait et son message me laissait perplexe. Elle me voulait heureux... avec une autre. Et comme d'habitude elle se débrouilla pour ne pas parler d'elle... du moins comme j'aurais aimé qu'elle le fasse. J'avais les larmes aux yeux, mais je me retenais de verser une larme pour ma mère. Elle me mit sa main dans mes cheveux et je revins à la surface.

- Euh oui pardon, juste un commentaire pas cool sur une de mes photos Instagram mais bon on ne peut pas plaire à tout le monde exact? Et si les gens prennent le temps de me critiquer c'est que je suis quelqu'un, non? Sinon ils m'ignoreraient et feraient leur route.

Je me frottais les yeux du bout de mes doigts en venant embrasser le front de ma mère.

- Je t'aime.
- Je t'aime aussi mon chéri mais je sais reconnaître un mensonge.

Ma mère savait pour Terra. Pas tout. Mais elle savait qu'on se connaissait depuis des années et que c'était "la" fille qui avait su conquérir mon coeur malgré un écran qui nous sépare.

- C'est rien, promis, je n'ai pas envie d'en parler... Tu peux me faire un gâteau au chocolat dis? Comme quand j'avais 8 ans, tu sais?

Elle me comprenait si bien et elle voyait bien que j'avais besoin d'une présence et non d'une psychologue à cet instant même. Elle se leva et me murmura qu'elle allait faire ce fameux gâteau pour son fils unique. Je souriais grandement avant de répondre tant bien que mal à Terre. Je voulais lui dire tellement de choses... et à la fin mes doigts n'écrire que certains mots.

-Message Facebook-

Je veux ton bonheur comme toi tu veux le mien.
Tu me manques vraiment.
Mais tu n'as pas répondu à ma question clairement...
Comment vas-tu Terra? N'essaie pas de me mentir... Tu dis que tu veux mon bonheur mais en me mentant tu me brises le coeur.
Ton message sonne comme un adieu et je refuse de te laisser.
Je suis désolé... Désolé pour tout. Je sais que notre relation.. enfin notre.... amitié. N'est que virtuelle mais j'y tiens plus que tu le crois. J'ai besoin de toi et je refuse de te laisser partir...
Ne me bloque pas ou ne m'oublie pas s'il te plaît.
Tu es en couple, je le conçois... et je .. respecte ça. Mais est-ce une raison assez forte pour toi pour arrêter de me parler? S'il te plaît Terra...
Explique moi. Parle moi.
Ne me laisse pas ainsi... J'ai besoin de toi...

Message envoyé.

Je relevais les yeux, les larmes prêtes à couler, mais je me concentrais sur la bonne odeur qu'il commençait à y avoir dans tout l'appartement. J'avais pris autant de temps à écrire ce message? Sûrement. J'avais pesé chacun de mes mots...

Je suis arrivé(e) dans la grosse pomme le : 25/12/2015

J'ai envie de toi, j'ai besoin de toi et pourtant....

Riverra

Tu vais finir par te perdre, te perdre dans ton reflet, bien triste manière de passer ton après-midi à regarder les traits de ton visage creuser par la douleur, tes yeux rougie à force d’avoir trop pleurer, et tu étais persuadé que si tu pouvais voir ton cœur il serait brisé de toute part. Tu te remémorer ces mots violents que ton petit ami avait eus et cela te briser encore plus, mais tu n’arriver pas à penser à autre chose. Tu te souviens de ses menaces si tu revenais à parler avec lui, et tu avais essayé de t’y tenir quelque peu effrayer par la possibilité qu’il les mette à exécution, car quoi qu’il pourrait faire tes parents serait de son côté, il s’accrocher bien trop à l’idéal futur gendre qu’il représenter, à ce bonheur fictif qu’il penser que tu avais. Mais, toi, tu étais bien trop absorber et éperdue par un fantôme que tu n’arriver pas à oublier. Dans le fond, River n’était qu’un fantôme, mais c’était les choses la plus réelle de ta vie en ce moment celle à laquelle tu voulais désespérément te raccrocher. Pourtant, tu savais que vous ne vous verriez sans doute jamais au-delà d’un écran d’ordinateur, mais le perdre, t’éloigner de lui revenait à perdre une partie de toi-même. Voilà, pourquoi tu t’étais sentie si mal c’est deniers temps, ne pas lui parler étais une torture. Tu mourrais d’envie de l’appeler rien que pour entendre le son de sa voix quitte à raccrocher après, c’était la seul chose qui te maintenait vraiment en vie en dehors de toutes ta vie virtuelle que tu t’étais construite depuis quelques années. C’est le BING d’un nouveau message qui te fit bien vite sortir de ta torpeur. Tu attrapas ta peluche et la serra contre toi avant de laisser tes yeux se reposer sur l’écran de l’ordinateur. Lire les mots de celui qui avait ton cœur comme personne ne l’avais jamais eu te brisa un peu plus. Il était triste, tu le sentais dans chacune de ces phrases et tu te sentis encore plus coupable de tout, cette souffrance n’était là que par ta faute et tu haïssais pour cela. Tu ne voulais pas qu’il souffre au contraire, il mérité bien mieux qu’une fille incapable de lui donner autre choses que tu souci. C’est les yeux baigner une nouvelle fois de larmes et entre deux sanglots que tu t’efforças de lui répondre.

*****

«Tout aurais étais plus simple si nous avions pu nous rencontrer plus tôt, si ma route avez croisé la tienne au détour de New-York… Je rêve souvent de cela tu sais, cela m’aide à tenir d’une certaine manière.
Mais, je me refuse de te faire souffrir et en te disant la vérité, je sais que ce sera le cas !
J’ai peur aussi River, peur de mes parents, peur de LUI…
Je ne voudrais pas que tu sois blesser par quelque manière que ce soit, je tiens beaucoup à toi et cela me tuerais de savoir que c’est par ma faute, alors j’ai essayé, essayé de m’éloigner de ce que nous avons, mais j’ai mal, profondément mal ! Mais aucune solution existe à mon problème, alors je m’efforce de vire avec.
Le son de ta voix me manque, alors quand je suis seule, je regarde tes vidéos en boucle cela me redonne le sourire pour quelques minutes…
Tu me manque, voilà ma vérité.
Vivre sans toi, c’est de la torture, mais c’est une torture que je n’ai pas d’autre choix que de supporter! »

*****

Tu appuyas sur la touche entré et laissa le message partir avant d’écrouler ta tête dans tes bras de pleurer encore et toujours. Pourquoi l’amour faisais-t-il autant souffrir, tu ne voulais plus rien ressentir, cela te faisais bien trop mal. Tu en avais marre d’être tirailler dans tous les sens et faire semblant devant tout le monde que tout aller bien, alors qu’au fond tu mourais à petit feu. Il fallait cependant que tu te reprennes, car ton moment de répit aller se terminer quand tes parents rentrerais, tu ne pouvais les permettre de te voir dans un tels état, il chercherait à savoir qu’es ce que tu as avant de te rabaisser encore plus. Tu relevas ta tête et attrapas des mouchoirs afin de sécher tes larmes qui avaient du mal à quitter ton visage. C’est la gorge encore serrée que tu décidas encore d’attendre quelques minutes pour qu’il te répondre, avant de devoir te préparer pour servir la comédie de la fille heureuse à tes parents et à quiconque passerais le seuil de la demeure familiale.

acidbrain

» je brûle d'envie (louise)
» (m/f) besoin de liens et de rps !
» Besoin d'aide :3
» Une maman à aussi besoin d'amis
» Tout le monde a besoin d'ami même l'homme parfait

Riverra ♦ J'ai envie de toi, j'ai besoin de toi et pourtant....

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