J’ai grandi à Londres avec mes parents, mon grand frère et ma soeur jumelle. Nous étions une de ses familles parfaites que l’on pouvait voir dans les films. J’étais  très proche de ma soeur. Nous étions inséparables, Il était impossible de faire un pas sans se quitter. Cette vie parfaite n’était malheureusement qu’une façade. Mon père décida de partir faire sa vie ailleurs et nous délaissa. Il prit ma soeur avec lui et déménagèrent aux USA.  Je ne les revit plus depuis ce jour-là.
Je continuai ma vie aux côté de ma mère et mon frère. Contrairement avec ma soeur, mon faire ainé de 5 ans plus âgé, était froid et distant avec moi. C’est comme si nous avions grandi séparément.

Je fis ma scolarité seul.  Je faisais partie de ses bouc émissaire et typiques que l’on peut retrouver dans les écoles,le petit grassouillet aux lunettes au fond de la classe. Je me consacrai entièrement à mes études, renforçant davantage ma réputation de tête d’ampoule. Toujours premier, je rentrai aisément à Cambridge (la même université que mon frère)et réussit brillamment. J’avais évolué et devins plus séduisant. Mes cheveux tombants me donnai un certain charme, bien que je n’étais pas très à l’aise avec les femmes.

Je rencontrai mon premier amoureux à l’université. C’était la plus belle femme que je connu. Un soir, nous enchainâmes les verres et ivre, je lui avouai mon attirance et nous échangèrent nos premiers baises. Souriante et intelligente, elle me guida et m’aida à devenir moi-même. Naïf, je croyais en nous et la voyais comme la femme de ma vie. Malheureusement, il n’en fit pas ainsi. Pendant ma dernière année, je reçu une offre d’emploi par l’agence américaine MADMEN. La plus créative et grande agence de publicité. Entre les mains de cette équipe  la promotion devenait de l’art. Enthousiasmé par cette nouvelle, je couru lui annoncer la nouvelle. Arrivé, je la découvris nue en plein émoi avec un autre homme, mon frère. Emplit de rage je décidais de partir. Elle essaya tant bien que de me retenir, de s’expliquer mais je refusai toujours de la voir. Le lendemain je m’envolai à New York démarrer une nouvelle vie.

J’emménageai dans le quartier de Brooklyn, pour lequel je tombai directement amoureux. Tous les musées et ce fourmillement de population m’émerveillais. Je compris vite, comment grimper les échelons. Comment paraître devant les clients et user de mes charmes quand il le fallait.  Je ne dévoilai pas mes sentiments, considéré comme une beautés froide. Les seuls moments de plaisir ne sont qu’une façade et faire plier la gente féminine mes avances est un amusement récurent.